Le développement du business dans le secteur de la beauté et des cosmétique, par Thierry Kutz, CEO de AtaWay.

LA DIGITALISATION DU SECTEUR COSMÉTIQUE, UN VERITABLE TREMPLIN POUR REBONDIR !

Thierry Kutz, CEO de AtaWay

Avec la crise de la Covid et les restrictions sanitaires liées au confinement, le marché de la beauté et des cosmétiques n’a pas été épargné, à l’instar de nombreux secteurs. En effet, la globalité du secteur des cosmétiques a subi une chute d’environ 10 % des ventes selon la FEBEA. 

En revanche, pour les acteurs du marché des cosmétiques ayant intégré le digital dans leurs stratégies, les ventes en lignes se sont développées. 

La fermeture des magasins a contraint les entreprises du secteur à renforcer, voire à créer leur présence digitale afin d’offrir à leurs clients un service fluide et omnicanal : réseaux sociaux, ventes en ligne, applications mobiles ou même réalité augmentée. 

Bien sûr l’expérience en magasin physique reste incontournable pour les consommateurs qui peuvent tester les produits sur place. Les grandes marques proposent d’ailleurs de vivre une expérience client en magasin sur des supports numériques. 

Le digital est un véritable levier de croissance pour les entreprises du secteur cosmétique, cela implique de dépasser les freins souvent liés à une méconnaissance des outils digitaux, d’utiliser les bonnes stratégies, d’être accompagné et formé. 

 

LE DÉVELOPPEMENT À L’ETRANGER DANS LE SECTEUR DE LA BEAUTÉ ET DES COSMÉTIQUES

Comment exporter son savoir-faire et son expertise dans le domaine des cosmétiques et de la beauté ?

La crise sanitaire a accéléré le développement à l’international de nombre d’entreprises, grâce notamment au numérique. Avant de se lancer à l’international, il faut se poser les bonnes questions. Il est nécessaire de bien connaître ses objectifs : croissance, rentabilité, notoriété… Il faut aussi savoir identifier les marchés cibles, ceux où l’entreprise a une vraie vocation pour pouvoir s’implanter. Des études de marché sont nécessaires pour bien comprendre les enjeux culturels, géographiques, financiers, géopolitiques du pays visé.

 

Le secteur cosmétique étant le troisième exportateur, le made in France est un sésame absolu dans tous les pays du monde. Pour les primo- exportants, il vaut mieux rester d’abord sur les marchés européens, notamment pour des questions de coûts d’accès. Pour ceux qui font déjà de l’export, l’Asie est le gros moteur de la croissance sur le marché cosmétique, sans oublier le continent nord-américain, le Brésil et enfin l’Europe.

Pas d’improvisation !

Le développement à l’étranger est de plus en plus coûteux, fastidieux, il est donc important de bien se faire accompagner. Si votre stratégie est claire et réaliste, cela peut se révéler un incroyable accélérateur de succès.

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